Numéro après numéro, Circé. Histoires, Cultures et Sociétés se développe et s’ouvre à d’autres terrains de recherche ainsi qu’à de nouvelles disciplines. Dans ce troisième volet nous vous emmènerons ainsi sur plusieurs continents, sans omettre pour autant les analyses à plus petite échelle. Le chercheur confirmé y cohabitera avec l’étudiant sans que ceci ne vienne pour autant influer sur le sérieux des publications. Iconographie, écrit, musique : Circé s’intéresse à tout avec le même intérêt. C’est cette même envie qui incite les membres de notre Comité de Rédaction à prendre sur leur temps de recherche afin de créer un moyen d’échanges essentiel pour ce qui est des études culturelles à l’UVSQ.
La diversité des sujets abordés pose en creux la question dans le futur d’un numéro spécial, où une même thématique unifierait tous nos articles. D’ici là, patience : Circé reste une revue jeune qui se structure peu à peu. Chaque nouvelle publication devient alors une étape supplémentaire de franchie, signe d’une collaboration active entre de jeunes chercheurs d’horizons différents et travaillant sur des sources tout à fait différentes. Circé progresse alors mais ne demeure pas pour autant en auto-suffisance pour ce qui est des articles.
Nous n’en demeurons pas moins satisfaits du travail ainsi que des avancées accomplies. A titre personnel, je remercie également l’ensemble de mes collaborateurs au sein de Circé. Nous sommes bien la preuve que cette revue résulte d’un travail collectif fait d’échanges passionnés, de remises en question régulières mais également de satisfactions profondes au moment des publications (en attendant d’autres formes de gratifications à l’occasion d’événements futurs organisés par Circé).
Nous remercions alors l’intégralité de nos éditeurs, relecteurs et bien entendu nos rédacteurs – Nathanel Amar, Susan Baddeley, Céline Durand, Jean-Charles Geslot, Florence Hénaut, Thibault Le Hégarat, Emmanuelle Portugal, Diane Pradal pour nous avoir fourni autant de sujets à réflexion. Nous demeurons également reconnaissants auprès de monsieur Olivier Guyotjeannin – référence en histoire médiévale – pour s’être montré autant disponible et nous avoir ouvert les portes des Archives nationales.
Le comité de rédaction